* j’ai ajoute des photos dans mon album, les autres suivront au courant des prochains jour. L’internet est trop lent pour mettre ça en ligne maintenant.
My heart will go on. Version saxophone, piano, midi, en mandarin, en vietnamien, en anglais… J’pensais qu’en sortant du Vietnam le calvaire serait terminé, mais non….elle est décidée à me poursuivre peu importe où je vais…
Vient le moment de quitter le Vietnam. Il faut ce qu’il faut…ce n’est que partie remise.
Il y a plusieurs façons de passer du Vietnam au Cambodge. La plus habituelle est de prendre un autobus de Saigon et de se rendre jusqu’à Phnom Penh, la capitale du Cambodge. Étant donné que j’étais déjà dans le sud du Vietnam (plus au sud que Saigon), j’ai décidé d’y aller avec la méthode recommandée du Lonely Planet. Sans vraiment avoir trop d’indications…
Je devais trouver un moyen de me rendre à Chau Doc, d’où il serait possible de passer la frontière. Je suis toujours à Rach Gia, la ville la moins touristique que j’ai vue jusqu’à date au Vietnam. Je me dis que je partirai le lendemain et je me rends à la station d’autobus qui est à 40 mins de scooter de mon hôtel. Je me dis qu’en y allant le soir de la veille de mon départ…c’est comme si j’étais en avance non ? Bin non…
J’arrive là, la billetterie est fermée et il y a des chauffeurs d’autobus (je présume) qui courent vers moi en me voyant. Je leur explique (ni en anglais, ni en français, ni en vietnamien…mais bien dans la langue universelle du mime) que je veux partir le lendemain pour Chau Doc. Tout le monde se paie ma gueule. On me dit que je ne suis pas dans la bonne station d’autobus, qu’il est trop tard…bref, no can do! Je vois affiché un peu partout dans la station de bus la ville de Chau Doc, alors j’assume qu’il y a certainement des bus qui s’y rendent une fois de temps en temps.
Dès que je me montre un peu intéressé, ils se rassemblent tous autour de moi…ils sont au moins une dizaine. J’ai l’attention de beaucoup trop de gens à mon goût. Tous des hommes en plus.
Un d’entre eux me dit qu’il me donnerait un lift pas plus tard que ce soir pour 30$…en scooter. Chau Doc est à 4h30 d’autobus environ de Rach Gia, alors je lui explique que j’ai un sac trop gros pour sa bécane et je refuse. Ils ne veulent vraiment pas m’aider autrement que si je paie 4x le prix normal. Si seulement je parlais Vietnamien je lui aurais dit que je ne suis pas le dernier des idiots (oh que non) et que son deal de l’année il peut bien le rouler et se le foutre dans……
Je quitte la scène et je laisse la convention de chauffeurs d’autobus qui me suivent du regard. Je me dis que je ne peux pas retourner à mon hôtel sans savoir comment me rendre à Chau Doc. Il y a 3 filles pas trop loin qui vendent des boissons et autre trucs du genre. J’achète un thé, ce qui me donnera droit à de l’aide éventuellement. Je sors mon Lonely Planet et je cherche les 3 pages à la fin avec des phrases en anglais et vietnamien.
Autobus->Chau Doc->Demain
On m’explique qu’il y a un bus demain à 6h et à 14h…AH! El savait sti!
Je ne saurai pas le soir même si mon autobus était le lendemain AM ou PM…
3h30 plus tard je quitte la station d’autobus pour y revenir le lendemain matin à 5h30.
Ce qui veut dire que ce matin là je me suis levé à 4h00, ce qui m’a donné moins de deux heures de sommeil. Ma faute allez-vous me dire? Ouais…pis j’avais même pas préparé mon sac avant de me coucher.
En arrivant, les dames à la billetterie me disent qu’il n’y a pas de bus vers Chau Doc…merde…c’est écrit en haut de vos têtes Chau Doc…y a quelqu’un qui me niaise là!
Juste au moment où je désespère, quelqu’un vient me chercher par le bras et fait un air bête aux dames de la billetterie. On me montre un minibus et on me demande 5$. Je demande Chau Doc? On me confirme. Ça me va…
Au Vietnam, quand on embarque dans un minibus, le bus part pour sa destination quand il est à pleine capacité. Des fois, ça peut prendre du temps et il roule un peu partout en annonçant sa destination. Ça a pris pas moins de 2 heures avant qu’on parte. J’ai déjà l’estomac dans les talons et on n’est même pas en chemin encore.
Le chauffeur me veut à cote de lui. Il me montre à tous les nouveaux arrivants en disant probablement quelque chose comme «checkez ça les jeunes ce que j’ai ramassé ce matin, y sent bon en plus». On me fait des sourires ou on me pointe du doigt. Je ne sais pas si ce sont mes genoux qui menacent tout le devant du char, mais j’ai l’impression d’être trop grand pour tout ca. Il me jase tout le long de la ride. Je ne comprends rien et je commence à devenir impatient. J’ai faim et je suis fatigué, J’aimerais être invisible jusqu’à la destination.
Un autre 2 heures plus tard, le chauffeur arrête son minibus et me regarde. Il me dit « no money » et me fait signe de sortir de son bus. Je regarde autour et je ne suis clairement pas où je devrais être. Je suis sur le bord d’une route de terre et y a même pas de commerces autour. Je suis au milieu de nulle part merde….did i just run out of money?
Je fais comme si je ne comprenais pas (ce qui n’est pas complètement faux) et je reste dans l’autobus. No way que je vais me faire laisser ici. Il me répète de sortir, mais cette fois-ci sans sourire.
Je prends mon sac et je sors en me demandant que faire. Des vendeuses de biscuits viennent me voir. Je leur achète des trucs à manger. J’attends sans trop savoir pourquoi en me disant qu’au pire j’ai mon hamac. 45mins plus tard, un autobus qui n’a rien d’un autobus voyageur s’arrête devant moi, un gars sort la tête et crie : Chau Doc!
Mon sauveur! J’embarque dans l’autobus qui est à pleine capacité. Il y a beaucoup trop de monde et aussi quelques poulets et canards. Je m’assois quelque part et je suis le 4e sur un banc à 2 places normales ou 3 petites. J’ai de la misère à évaluer j’en ai pour combien de temps là-dedans.
Une crevaison et un accrochage plus tard, on arrive à Chau Doc. C’est rempli de salon de massages douteux et il y a deux attractions touristiques. L’une d’elles c’est de monter une montagne pour aller voir le coucher de soleil sur le Cambodge….très nice, l’autre c’est d’y traverser…très nice aussi! Donc au lieu de prendre un autobus à partir de Saison comme tout le monde pour me rendre au Cambodge, j’ai décidé d’y aller pour la solution la plus simple…
Bateau #1 –> Bateau #2 –> Douanes –> Minibus
Notre minibus est tombé en panne…alors on a attendu looooongtemps quelque part près des douanes au Cambodge. On était loin de tout, mais on a tout de suite su que c’était un pays riche de culture. Je rencontre au courant de cette journée les gens avec qui je passerai les prochains jours. Je trouve une chambre à 4$ la nuit en plein centre-ville. Ma chambre est très bien. On passe les prochains jours à visiter la ville, les musées, les temples.
Les khmers rouges ont fessé fort et ça parait encore un peu partout. Financièrement, on voit tout de suite que c’est plus pauvre que le Vietnam et ça frappe. Les enfants quêtent dans la rue. J’en ai vu un courir après notre tuk-tuk… tellement vite et longtemps, c’était fou.
Il m’arrive que très rarement depuis mon arrivée ici de manger un repas et qu’aucun enfant ne m’en demande un peu. Je partage toujours avec eux…sauf la happy pizza. Je pense que c’est mieux de donner de la nourriture et de l’eau (sérieux… ils ont soif) que donner de l’argent.
On a visité une école secondaire qui a servi de camp d’exécution pendant le génocide qui a eu lieu ici, ensuite on se dirige aux Killing Fields. On emprisonnait les habitants dans cette école (entre autre) pour ensuite aller les abattre ensuite sur les Killing Fields. Instinctivement, tous les visiteurs ferment leur gueule en arrivant. On a pas besoin d’un panneau écrit en 4 langues pour comprendre que sur ces lieux, il faut garder le silence. L’atmosphère est très pesante. Autant à l’extérieur qu’à l’intérieur du musée. Bienvenue au Cambodge.
Je suis resté dans la capitale environ une semaine. J’avais du travail à faire alors je me suis dit que c’est probablement ici où on trouve l’internet le plus fiable. En effet…c’était là. Mais le mot fiable est très exagéré. Les ordis datent de 1990, la disquette est à son apogée. Les écrans sont jaunis et ne font que 14″. Et l’internet est leeeeeeeeennnt.
Ensuite, je me dirige vers Sihanoukville, la station balnéaire par excellence du Cambodge. Je suis resté là une autre semaine. Tout ce qu’il y a à faire là-bas, c’est le party et la plage ou le party sur la plage. Assez limité…mais tellement agréable. Alors j’ai passé la semaine à brûler au soleil le jour et à fêter le soir. Il y a plusieurs plages à Sihanoukville et la plus touristique est Serendipity Beach. C’est sur cette plage que mon lift m’a laissé.
Je marche sur la plage avec mon sac qui est toujours trop lourd à la recherche d’un guesthouse. Je vois une gang de gars de mon âge qui prennent ça relax et je leur demande où se trouvent les guesthouse pas chers sur la plage. Un des gars me répond que le moins cher est celui où je me trouve présentement. Je demande combien…il me dit que c’est gratuit. Je ris comme s’il venait de faire une bonne blague, mais s’en est pas une. Si je mange ici 2x/jour ou si je travaille le soir comme barman, j’ai des nuits gratuites. Un d’eux me demande si je veux travailler le soir même comme barman. Le guesthouse est le sien.
Je ne sais pas trop ce qu’il m’a pris, mais j’ai accepté. Je me suis dit que c’était sûrement une bonne façon de rencontrer des gens et puis ce n’est pas comme si ma soirée était déjà planifiée. Je suis débarqué là tout seul en fin d’après-midi et ça sentait déjà le party.
Je le referai le lendemain soir. En fait c’était une bonne idée, parce que de jour, le guesthouse est un resto sur la plage. De soir, ça se transforme en bar et la nuit en club…jusqu’à 7h le matin…tous les jours. Alors c’est impossible de dormir vraiment avant 3-4h du matin là dedans.
Cette petite job m’a permis de rencontrer des gens avec qui je passerai les prochains jours à me faire bruler sur la plage. La job comme telle était assez facile et même plutôt agréable. Je n’ai pas concocté de drinks vraiment complexes. L’inventaire du bar se limitait à du gin, vodka, rhum, red bull, bière et glace. Alors tout était sous contrôle et tout au long de mon séjour je pouvais me servir dans les réserves du bar gratuitement. J’ai même eu le contrôle de la musique pendant toute la soirée, alors j’ai vraiment trippé… j’imagine que je dois mettre mon CV à jour avec barman et DJ.
La corruption est très forte au Cambodge et à Sihanoukville c’est flagrant. Il y a de la police partout. 1 police par guesthouse environ. Les policiers vendent de la marijuana aux touristes à des prix complètement ridicules et ils fument avec eux. Disons que ça frappe quand tu vois une police fumer avec le gars assis à côté de toi. 90% des guesthouse sur la plage sont la propriété de westerners, les gens qui y travaillent aussi. On se croirait en floride…
J’ai adoré et détesté Sihanoukville. Pour faire le party sans trop réfléchir, c’est magique comme endroit. Pour 3$, tu manges des quantités incroyables de fruits de mer frais sur la plage dans des chaises extrêmement confortables. Il y a toujours des gens qui veulent faire la fête, mais quand tu commences à regarder autour attentivement, tu te rends vite compte qu’il y a quelque chose qui ne marche pas.
La ville est en construction constante, le tourisme dans la région est de plus en plus important et c’est en train de faire balancer l’économie locale. Les ouvriers sont payés environ 0.75$-1$ par jour. Ils envoient leurs enfants sur les plages pour ramasser 2-25$/jour. Les enfants font plus d’argent que les adultes en vendant des colliers, bracelets, jus de fruits, fruits de mer sur la plage aux touristes. Il y a aussi BEAUCOUP de cas de vols de caméras et de portefeuilles par ces petits enfants cutes. Il y a aussi beaucoup de prostitution. Le soir les Cambodgiennes sexy descendent sur la plage et se collent aux touristes. Pour moi, le party s’est terminé un après-midi quand 2 jeunes filles qui avaient clairement moins de 15ans me tournaient autour et voulaient savoir si je voulais revenir à mon hôtel avec elles. Je pensais que c’était les vapeurs de marijuana environnante qui jouaient avec mon jugement jusqu’à ce que mon voisin me confirme que cet endroit est un peu fucked up.
Ensuite est venu le temps de faire un move. Ca fait 6 jours que je me promène nu pieds partout. Je n’ai pas besoin de sandales ou de flip flops…il y a du sable fin et blanc à perpétuité. Il faut que je parte car je pourrais facilement passer tout mon mois ici sur cette plage et ne plus bouger ou simplement faire comme ces touristes qui ont décidé de prolonger leur visa à chaque mois pour les 10 prochaines années. En restant ici, je ne visiterais pas le Cambodge… Je me décide donc à acheter un billet d’autobus pour le lendemain matin. Cette nuit a été l’une des plus longues de toute ma vie. J’ai été malade comme je ne l’ai jamais été avant. Je ne pouvais sortir de ma chambre plus de 15 mins sans que l’appel se fasse sentir. La fièvre s’est mise de la partie et je suis resté 48 heures dans mon lit à me déshydrater. J’hallucinais tellement j’étais fiévreux. Il y avait beaucoup de fourmis dans ma chambre et dans la salle de bain. Les fourmis étaient dans mes rêves et sur mon corps pendant mon sommeil. Je ne sais pas à quel point mon imagination me jouait des tours, mais je me suis réveille un matin avec les pieds tout piqués par les fourmis.
J’ai même rêvé qu’il y avait un panneau dans la chambre suggérant de ne pas dormir tout nu dans les lits car on pouvait attraper l’herpès. J’ai encore en tête l’image du panneau. À partir de ce moment, j’ai arrêté de dormir tout nu.
Cette période n’a pas été très joyeuse. La 2e journée j’ai commencé à avoir peur pour ma santé, mais mon état semblait revenir tranquillement à la normale. J’ai été 3 jours sans pouvoir manger. Je me suis acheté 3 billets d’autobus et j’en ai gaspillé 2 car je ne pouvais juste pas prendre la chance d’aller m’asseoir dans un autobus pendant 4 heures. La 3e journée, j’ai réussi à me bouquer un billet d’autobus et partir de ce coin d’enfer ou paradis…je ne suis toujours pas capable de trancher.
Ensuite je m’en vais à Kep. Une ville portuaire. La raison pourquoi je vais là c’est parce qu’il y a une île pas très loin. Koh Tonsay (Rabbit island) où il parait que c’est plus beau que Sihanoukville et pas mal moins touristique. 2 gars rencontrés au Vietnam on passé 1 mois sur cette île quand ils sont passés ici. Ils me disent que je dois absolument y aller, ils m’expliquent comment me rendre. Cette île n’est pas dans le Lonely Planet, alors c’est tentant.
Je décide de passer 1-2 jours à Kep avant d’aller sur l’île. C’est très beau comme village. Il y a 4 guesthouse officiels et 1 non officiel. En débarquant de l’autobus, un homme vient vers moi. Il me demande quel genre de guesthouse je veux. Je lui dit « cheap cheap »…errrr
J’aurais du payer le gros prix. Je me suis ramassé dans le guesthouse non officiel très loin de tout. Je me suis loué un vélo durant la journée pour visiter les environs et j’ai du m’arrêter à un moment pour laisser passer un éléphant, il traversait la rue. J’étais seul avec lui et il ne m’a jamais regardé. J’avais la bouche grande ouverte et je le regardais traverser.
J’ai passé la soirée dans un resto/bar avec des australiennes et finlandaises et quand c’était le temps de revenir…ça a été vraiment compliqué. Mon guesthouse est inconnu de tout le monde et il n’y a pas de lumières dans la rue. Il fait complètement noir.
J’ai dormi dans un genre de garage extérieur, il n’y avait pas d’électricité ou d’eau courante. Tout ce qu’il y avait, c’était un net pour les moustiques suspendu au dessus du lit et des draps pas trop propres. Thank god…y a au moins le net. J’aurais pu mourir là et personne n’aurait jamais su.
Le lendemain matin je pars pour l’île du lapin. J’arrive au quai et je retrouve les 3 filles la veille et un autre gars nommé Ajax. Nous allons tous vers l’île et nous louons un bateau à nous 5 pour se rendre sur l’île. Nous arrivons au paradis.
Sur cette île, il y a quelques génératrices, pas d’eau courante, pas de routes, mais il y a des petites cabanes en bambou sur pilotis. Pour 3$/nuit pour la chambre de luxe. Je passerai les 3 prochains jours sur cette île.
Lire, boire, manger, se faire bronzer, se baigner, marcher autour de l’île et monter une montagne…c’est tout ce que j’ai fait durant ces 3 jours et j’ai adoré. J’étais avec des gens superbes et la famille qui nous a accueillis était vraiment chaleureuse. J’ai dépensé 25$ en 3 jours…et je ne me suis pas limité. Les fruits ici (au Vietnam aussi) sont excellents. Les mangues, papayes et ananas sont les meilleurs, j’en mange tous les jours. La Lao Beer est aussi délicieuse. Les couchers de soleil au Cambodge sont les plus beaux que j’ai jamais vus. Le soleil est immense et un rouge vif. Je le vois se coucher sur la mer turquoise, sur les rizières à perte de vue, derrière les montages, etc.
Nous étions 25 personnes sur l’île. L’île fait 8-9km de circonférence. Nous étions comme une grosse famille. J’ai passé ma fin de semaine avec des Anglais, Australiens, Cambodgiens, Allemands, Canadiens, Suédois, etc. Nous avions tous un point en commun, nous étions à la recherche d’un coin de paradis et on l’a tous trouvé au même moment.
Quand l’envie de prendre une douche fut trop forte, j’ai quitté l’île avec Ajax. Ça fait 3 jours que je me baigne dans l’eau salée et je ne peux rincer le sel qui s’accumule sur ma peau. On se dirige vers Kampot, une ville à 45 mins de Kep en autobus. On voit l’autobus et on entre pour moins d’1$.
Rendus à Kampot, on se loue des vélos et on part à la recherche des grottes de la région. On pédale au total 50km pour l’aller-retour. Les grottes étaient beaucoup plus loin qu’on pensait, mais ça valait la peine. Dès qu’on sort du village, on se fait bombarder de « hellos » de tous bords tous côtés. Notre guide était un enfant de 12 ans. On a passé plus de 2 heures dans les grottes. La route pour se rendre au fond était difficile et glissante. La dernière grotte était la grotte aux chauves-souris. Vraiment impressionnante. On les sentait passer tout près de nos cheveux, il y en avait des milliers…j’étais dans la bat cave. Je n’ai pas vu Batgirl…
Je quitte dans quelques jours pour aller à Siem Riep. J’irai visiter les temples d’Angkor. Ensuite je me dirigerai vers le Nord-Est du Cambodge où il y a des jungles et j’irai passer la frontière pour aller au Laos où je passerai aussi un mois. Le temps passe vite. J’ai l’impression que je viens tout juste d’arriver au Cambodge…
Toutes mes photos prises au courant des dernières semaines seront sur mon site dans les prochains jours.
Thanks Toni for that fine piece of art!